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| Motoko Houjuu | |
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Houjuu Aucun Rang
Nombre de messages : 2 Age : 31 Village/ Alliance : kiri Grade de votre Ninja : anbu Date d'inscription : 17/08/2009
Fiche du Ninja PV: (50/50) PC: (50/50) Sceau / Bijjus:
| Sujet: Motoko Houjuu Lun 17 Aoû - 22:34 | |
| Motoko Houjuu
Âge : Ca te regarde ? 15
Village : Kiri
Grade Envisagé : anbu
Description Physique : A quoi je ressemble ? Qu'est-ce qui se passe ? Ta les deux yeux complètement encrassés pour ne pas pouvoir me regarder ou alors t'es un de ces pervers qui aiment fermer les yeux et commencer à s'agiter la nouille quand une fille parle ? Nan, répond pas, c'est sûrement la deuxième solution, pas possible autrement.
Allez pervers, ferme les yeux, je vais t'envoyer dans les sept cercles du plaisir et quand tu reviendras tu va m'aider à faire en sorte que je m'envole vers les septième cieux, donnant-donnant mon gars.
Alors, je fais un petit mètre cinquante-neuf, pas de blagues sur ma taille ou alors je t'enfonce ce bâton là où le soleil ne brille pas. J'ai des cheveux châtain qui m'arrivent jusqu'au pied, une vraie plaie à s'en occuper, mais je les adore donc va mourir. Ma peau est pale, j'aime pas le soleil. Mais bon ça tu t'en moques donc on va s'intéresser aux parties de mon corps qui t'intéresse, pervers. Je fais du B en tour de poitrine mais j'ai pas de fessiers donc si t'es un fétichiste de l'arrière-train va falloir que tu t'en passe. Je vais même pas me donnée la peine de tenter de te décrire mes vêtement vu qu'ils vont se retrouver sur le sol dans pas longtemps, je dirais juste que j'ai pas de goût et que j'ai que de vieux vêtement qui commencent à être un peu trop petit pour moi.
C'est bon, t'es satisfait ? Allez sort la main de ton pantalon, vire moi tous ces vêtements et fait en sorte que je sois contente ce soir, avec un peu de chance t'auras le droit à une seconde représentation en live après, mais seulement si t'es doué.
Description Mentale : Ah putain ça fait du bien, t'es pas trop mauvais, dommage juste que tu sois un mec. Quoi ? Comment ça pourquoi ? Facile : j'aime pas les mecs, ils servent pas à grand chose hormis à me satisfaire de temps en temps. Arrête de bafouiller ta l'air d'un débile profond ! Ta un problème ? Je dois te l'épeler ? Okay, je vais le faire : je suis lesbienne et ça me plait et pourquoi pas ? Les mecs sont tous des porcs machiste qui réfléchissent d'abord avec ce qu'ils ont entre leur jambe et ensuite, éventuellement, avec leur tête. Oh ouais, je couche avec des hommes, ils sont pas trop mauvais d'habitude et bien que je préfère la touche d'une femme si j'ai pas le choix, j'ai pas le choix.
Ta l'air choqué ? Non, tant mieux tu devrais pas, sinon je serais forcer de te vider les intestins comme on le fait avec un poisson. Je sais, je suis violente, j'ai pas eu une vie facile aussi, j'ai été la seule femme dans un milieu d'homme. La seule femme samouraï d'un univers qui puait la testostérone. Quoi ? Dis-moi ta jamais croisé de samouraï toi, si ? Nan car sinon tu me poserais pas de questions aussi débiles. Évidement que j'ai jamais été violée, ce sont des samouraï, pas des bandits, mais bon, ils m'ont bien fait comprendre que j'avais pas ma place parmi eux et ça je l'ai compris par moi-même assez vite.
Tu vois ce bandeau sur mon œil droit ? ouais bah c'est pas de naissance. Je me suis fait abandonnée par mes "camarades", pas volontairement, ils avaient des ordres et ils les ont suivit et ils m'ont laissé seule, les enfoirés. J'ai du affronter quatre hommes, trois anciens samouraïs et un ninja déserteur, je me suis fait massacrer et la zone que je devais protéger c'est fait déflorer plus vite qu'une pucelle. histoire d'enfoncer le couteau, on ma tenue, moi, responsable de l'échec de la mission, j'ai été sacquée vite fait bien fait, pas un de mes camarades n'est venu me défendre alors j'ai laissée tombée. Ça va faire trois ans que je me balade de ville en ville avec comme seule but de boire, coucher et me battre et c'est tout, alors forcément, ça laisse des traces.
Pourquoi je parle jamais ou seulement par monosyllabe ? P'tain, j'aurais bien voulue que tu l'ai pas remarqué... Facile, quand j'ai perdue mon oeil droit je me suis aussi fait blesser à la gorge ce qui a endommagé par mal mes cordes vocales, je peut parler hein, c'est juste très douloureux de le faire.
Mais de toute façon ça te concerne pas, alors, viens là, c'est partit pour le deuxième round. | |
| | | Houjuu Aucun Rang
Nombre de messages : 2 Age : 31 Village/ Alliance : kiri Grade de votre Ninja : anbu Date d'inscription : 17/08/2009
Fiche du Ninja PV: (50/50) PC: (50/50) Sceau / Bijjus:
| Sujet: Re: Motoko Houjuu Lun 17 Aoû - 22:34 | |
| Histoire :
Ça fait combien de temps que je suis assise là ? Cuvant mon saké ? Je sais pas et pour être honnête, je m'en moque. Ça pourrait faire dix minutes comme dix heure, tant qu'il y aura un barman pour remplir mon verre je serais la femme la plus heureuse du monde. C'est après que c'est difficile en fait, quand je suis seule, sobre et forcée de me souvenir. Putain. Combien d'années déjà ? Deux ans ? Non, pas deux ans, ça fait plus. Trois peut-être ? Ouais, trois me semble être un bon chiffre, ça ressemble déjà plus à la vérité là et pourtant je suis sure que c'est toujours pas le bon chiffre. Bah ! Pour ce que ça va changer autant que j'arrête de me prendre la tête sur un détail pareil.
Je rigole, ça fait du bien, les personnes autour me jettent des regards amusés, limite moqueur, je les ignore, comme toujours. J'étais déjà bien portée sur la bouteille quand j'étais plus jeune, mais depuis l'enchaînement magistrale de merde que ma vie à connue, je crois que je suis passée de "buveuse occasionnelle et aimant ça" à "putain d'alcoolique prenant son pied dans une bouteille", à moins que ce soit que je prenne mon pied que quand la bouteille ME rentre dedans ?... Détail ! Au moins y en a un de content : le patron du bar où je viens me défoncée. Avec la quantité de boisson que j'ingurgite il dois commencer à effacer ses empreintes à force de se frotter les mains.
Merde... Si j'ai commencée à boire c'était pour éviter de penser au passé alors quelqu'un pourrait me dire pourquoi je suis en train d'y penser là actuellement ? Hein ? Personne ? Pourquoi ? Ah ouais... Pas faux, c'est vrai que je suis un peu en train de me parler toute seule dans ma tête et que les autres risquent pas de pouvoir m'entendre... Pas con, je devrais m'en souvenir pour la prochaine fois tiens. Enfin peu importe. Maintenant que j'en suis là autant continuer hein ? tous ces pauvres mecs me dévorant du regard ne savent même pas qui je suis et si ils savaient, pas sur qu'ils hésiteraient longtemps avant de tenter quoi que ce soit sur ma personne, comme disent les riches. Ce serait drôle qu'ils essayent tiens, j'ai pas eu de bon punching-ball depuis un moment.
Tss, maintenant que j'y repense je me dis que j'aurais peut-être du acceptée cette offre de devenir une autre des femmes du harem du seigneur chez qui j'étais avant au lieu de proclamer lourdement et fièrement que j'étais une samouraï, me serait évitée bien des misères et j'aurais toujours été entourée de magnifique femmes. Je crois que j'ai fait une erreur de carrière là, tant pis. Hum ? Comment ça ? Mon histoire ? Ah fait pas chier ! Sincèrement ! Tu préfère pas plutôt une partie de jambes en l'air à la place histoire d'oublier cette question ? Non ? t'es eunuque ? Okay, okay ! Alors voyons, où ça commence ce truc ? Ah ouais... Mon premier souvenir...
Je devais avoir cinq ou six ans et les premiers bruits ainsi que les première odeurs que je connaissait était ceux du dojo où je vivait. Mon père était un maître d'arme, enfin de sabre, ancien samouraï du daïmyo d'un des petits pays entre Iwa et Suna, je sais plus lequel, m'en suis jamais souciée de toute manière. Je vivais entourée de garçons et d'hommes qui voulaient soit devenir des samouraïs à la cour soit jouer les grands guignols avec un sabre entre les mains et comme j'étais la seule enfant de mon père, ma conne de mère ayant eut l'ingénieuse idée de se casser après ma naissance pour aller gambader dans les champs, j'étais aussi l'héritière directe pour le dojo... Chose qui plaisait pas à tout le monde... Pour pouvoir mériter ce poste je me suis entraînée comme une folle, je devais l'être un peu de toute façon pour accepter de porter un sabre au lieu de yukata mais passons, et je me battais contre tout ceux qui pensaient que j'avais pas ma place en tant qu'héritière. Je m'en suis pris des raclée mais j'en ai mise aussi, ça s'équilibre surtout pour une gamine à l'époque. Dommage que Ajira Mibu existe...
Ce type ? Juste le meilleur élève du dojo et maître adjoint tant qu'à faire. Il le mérite ce poste t'inquiète pas, il avait la force et le talent pour mettre des raclées à tour de bras donc aucun soucis de ce coté. Mais il voulait pas laisser la direction du dojo à la mort de mon père à une "faible femme qui est tellement arrogante qu'elle se croit l'égale d'un homme", de ses propres mots... Connard machiste va ! Pardon... Et il a réussit son coup le sodomite, je sais pas comment il a fait mais il a réussit à voler l'héritage du dojo et façon légale... En gros quand mon géniteur à décidé qu'il était temps d'aller se plaindre à Bouddha de sa vie merdique il à manipuler le testament pour faire de lui l'unique héritier de l'école de mon père. Juste pour ça je lui tire mon chapeau et je lui fait un doigt pour tout le reste. Bon, il est donc devenu le maître, à fait de l'un de ses larrons le maître-adjoint, ce type était une tache au passage, et il ma un tout petit mis à la rue avec comme message clair de : a) me prostituée : pas trop mon truc ça, j'aime pas les hommes et la prostitution pour cliente féminine doit être dure. b) devenir une geisha : ... Sans commentaire hein ? c) entrée dans un harem : faillit le devenir ça tiens. Bon, autant dire que je lui ait cordialement conseillé qu'il se mette dans la zone la plus sombre de son corps ses idées et que même si je partais les rouleaux de techniques qu'avaient écris mon père étaient techniquement à moi - légalement aussi d'ailleurs - et que je continuerais mon apprentissage pour un jour reprendre ce qui m'appartenait. Il s'est marré, ma giflé et s'est barré.
"Hey ! Je te ressert ?"
"Grunt ?"
Ah, c'est le barman, oh ben tiens, ma bouteille est vide qui me la vidée ? Ah ? Moi ? t'es sur de ça ? Okay, okay, je dis rien.
"Oh !"
"Oui."
Et voilà, simple et rapide, un petit "oui" et le voilà qui me ressert, ah ! Qui a dis qu'on pouvait pas acheter le bonheur, hein ? Quoi ?! Ah, ouais, mon histoire, tu m'emmerde ! Grrr... J'en étais où ? Ok je vois. Je vais t'épargner les années suivantes de ma vie vu que j'ai fait que... Quoi encore ? Mon âge quand je me suis fait virée de chez moi ? Putain tu m'en pose de ces questions... Je sais pas moi, dix ans ? Douze ? Ça te va ? Comment j'ai survécue dans la rue à cet âge là ? Je serais un mec je dirais que tu commence sincèrement à me péter les couilles, mais comme je suis une femme douce et délicate, arrête de rire ! Du calme ma grande... Zen... Pense à ta "Best Place"... Voilà... Cool... Je disais donc que j'ai survécue dans la rue grâce à l'héritage de mon père, l'autre couillon à peut-être réussit à me piquer l'école mais rien n'y personne n'aurait pu lui permettre de toucher à l'argent de mon père. Donc bref, je t'épargne mes longues années d'entraînement en solo pendant lesquelles je survivais en faisant de la chasse à la bestiole où à la prime quand elle était pas trop dangereuse... Et j'évitai les ninjas des saletés dans ma tête à cette époque. Donc ! On en arrive à la partie croustillante : comment je suis devenue la seule femme samouraï d'un daïmyo qui aurait préféré que je soit dans son lit.
C'était où déjà ? Rah ! Aucune importance... Quand j'ai enfin finit mon apprentissage j'ai pensée qu'il serait bien que je... Ouiiiiii ?! J'avais quatorze ans okay ?! Abruti finis... Je reprend, encore ! En gros je pensais que si je devenais une samouraï reconnue par un daïmyo j'aurais alors eut plus de poids politique pour quand j'aurais tentée de récupérée mon dojo, oui le mien à moi. Donc je suis arrivée à la cour, sourire aux lèvres et katana de seconde zone en main et j'ai fait ma proposition. Pendant un moment je me suis demandée si on m'accuserait de meurtre du daïmyo si il venait à s'étouffer en riant... Il a donc fallut que je fasse mes preuves et me battant contre cinq samouraïs de la cour dont le niveau variait entre le très mauvais, donc la piétaille à envoyer au massacre et l'élite, les mecs irremplaçable. Résultat satisfaisant pour moi, je passe les trois premiers, bien qu'avec quelques difficultés, avant de me faire manger toute crue par le second. Je dois dire que j'ai beaucoup aimée voir les visages complètement surpris de tout ce gratin de ridicules, voir qu'une fillette venait de réussir, avec beaucoup de difficulté, okay, à vaincre trois samouraïs de la cour, laisserait n'importe qui pantois et comme ils avaient fait un marché publique, impossible pour eux de revenir sur leur parole, ce serait pas honorable. Ils m'ont donc acceptée dans leur rang et ont fait de ma vie un véritable cauchemar.
Bah, j'aurais du le prévoir ça, ces mecs n'allaient jamais acceptés qu'une "femelle" comme moi puisse être un jour leur égale voir leur supérieure, et c'était pas mon but de toute façon. Mais j'ai mal digérée qu'on commence à m'envoyer des piques tous les jours à tous les instants, qu'on me filait les postes les plus merdiques - sérieux, que viens foutre un garde devant les toilettes ?! Mais j'ai encaissée car je me disait "encaisse ma grande, c'est pour ton dojo, ils seront bien obligé de te reconnaître à un moment où à un autre." je suis une bonne menteuse, hein ?... Je me suis jamais autant trompée de ma vie et crois moi j'ai fait de belles erreurs. Un jour, sûrement par manque de gars je vois pas autrement, on ma filé un poste un peu plus convenable : protéger quelqu'un pendant un de ses déplacements en ville; le trajet était pas long mais le gars en question s'était fait des ennemis un peu partout dans le pays avec ses marchandages douteux et comme il était l'un des principaux sponsors du daïmyo alors on devait le protéger. Moi, et quatre autre gardes, on y est donc allés. le début était tranquille, ils m'avaient mis à l'arrière mais ça me posait pas de problème, ce qui m'en a posé un c'est quand quatre type masquées sont apparues ont commencés à nous attaquer avant de fuir. Maintenant j'aurai une question : c'est dans la nature masculine d'agir stupidement quand l'égo est touché ou quoi ? Nan je veux dire, ces types sont venus et nous ont nargué, okay l'égo en prend un coup mais on était chargé de protéger le marchand pas de leur courir après afin de les tuer et, ou, les capturer. Résultat : mes camarades sont partit m'ordonnant de "garder le noble" et m'ont laissé seule. Deux minutes plus tard c'est cinq mecs qui sont arrivés dont le chef de la petite bande qui était un nuke-nin. Je me suis fait totalement et complètement massacrée mais, heureusement, tandis qu'ils étaient tous occupés à jouer avec moi, dans tous les sens du terme, ils en ont un peu oublier le marchand, qui s'est enfui avant de revenir avec les autres samouraïs qui ont mis en fuite les assassins, ou voleurs, en tout cas violeurs ça c'était sur.
Et c'est là que ma vie est devenue encore plus minable.
Semblerait que ma défaite face à ces vulgaires paysans indiquaient clairement que j'étais pas apte à servir sous un daïmyo, grosso modo après m'être fait violée et perdre mon œil droit et mes cordes vocales en tentant de défendre un gros lard puant tout cela étant du au fait que mes camarades m'ont laissée seule à garder un type avec un contrat sur la tête, je perdais aussi mon honneur, mon sabre, mon rang, mon argent et tout ce qui faisait moi, "moi"... Je me suis retrouvée à la rue, sans rien, seule, pleurant comme une gamine.
"Hey."
"Hrum ?"
"C'est l'heure, je ferme, casse toi et rentre chez toi."
Okay je me casse, il est plus tard que je croyais pour le bar ferme déjà. Allez on se lève... Ooops ! je savais pas que le bar tournait. Hey ! C'est marrant en fait. Mais perdons pas de temps, bougeons mon cul de là et allons retrouver mon super futon. Hum ? Quoi ? Tu vois pas que je suis concentrée à marcher ? Rah, okay, okay je la finis mon histoire de ma vie, p'tain.
Quand je me suis fait abandonnée j'ai un peu perdue tout envie de vivre, j'ai fait qu'exister. Je servais de jouet sexuel quand j'avais besoin d'argent, ou d'un toit, mais la plupart du temps je faisait que boire et voyager... Jusqu'à arriver ici, Kiri. Aux yeux des gardes quand je suis arrivés je devais vraiment ressembler à une pute de bas étage et j'ai juste eut la chance de m'évanouir devant les portes du village sinon pas sur qu'ils m'auraient laissé entrer. Si déjà je savais comment j'y étais arrivée la première fois devant ces portes au moins... Détail. On ma soignée, pourquoi ? Je sais pas, pour m'interroger peut-être. On ma nourrie, on ma donnée un toit et qu'est-ce que j'ai fait ? J'ai jouée mon autiste. Qui pourrait m'en blâmer ? J'avais passé ces dernières années à vendre mon corps pour survivre, j'avais plus d'honneur, plus de sabre, plus de vie, plus rien. J'ai même pensée que j'allais servir d'usine à bébés pour Kiri, histoire d'éviter que les kunoichis ne soient misent en arrêt pendant qu'elles sont enceintes. Mais je me suis gourée, encore. Un jour y a un chuunin, très propre sur lui, poli comme un arracheur de dents et mielleux comme un marchand qui vous flatte avant de vous piquez votre portefeuille. Il ma proposé une idée complètement dingue : devenir ninja pour Kiri. J'avais déjà un entraînement physique assez poussé, suffisait de combler ça avec un apprentissage ninja et je pourrais devenir kunoichi. Sur le coup, je l'ai insulté lui disant que j'étais une samouraï et qu'on avait de l'honneur, nous, contrairement aux ninjas. mais ce con ma posé une question, une seule : "qu'est-ce qu'il y avait d'honorable dans la vie que vous avez vécue ?" J'ai pas pu lui répondre. Il avait raison, tellement enfoncée que j'étais dans mon cul à cause de tout ce que j'avais perdue que j'ai même pas essayée de me relever et essayer encore, j'ai juste pensée que c'était "impossible" et me suis enfuie. j'étais pathétique. Deux semaines plus tard je me suis inscrit à l'académie de Kiri, avec une bande de gamins qui semblaient tous juste sortir des langes de leurs mères. Trois mois plus tard je continue à boire comme une pochtronne mais avec un but bien précis : retrouver mon honneur en devenant la première kunoichi-samouraï du monde, un but de dingue hein ? Mais je crois bien que je le suis devenue après tout ce qui m'est arrivé.
Ah, me voilà chez moi, mon histoire est finie, bizarre, je me sent plus légère, mieux même, comme si ça m'avait fait du bien de tout raconter. Grah ! Arrête de te prendre la tête avec des détails ! Je te quitte mon gars, ça a été sympa de te voir squatter ma tête, mais c'est finit, alors comme ils disent loin dans l'ouest : Bye-Bye Baby.
[Ouf, finis, j'espère que ce sera suffisant pour intégrer Kiri | |
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| Sujet: Re: Motoko Houjuu Lun 17 Aoû - 22:36 | |
| Bienvenue, Validé comme ANBU de kiri, tu peut allez faire ta fiche technique. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Motoko Houjuu Lun 17 Aoû - 22:38 | |
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| Sujet: Re: Motoko Houjuu | |
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